Le site stagnationllc.com http://www.stagnationllc.com Tue, 11 Nov 2025 14:06:22 +0000 fr-FR hourly 1 https://wordpress.org/?v=6.8.3 http://www.stagnationllc.com/wp-content/uploads/2025/05/cropped-icon-1-32x32.png Le site stagnationllc.com http://www.stagnationllc.com 32 32 Comment trouver les bons prestataires pour votre entreprise (sans perdre de temps ni d’argent) http://www.stagnationllc.com/comment-trouver-les-bons-prestataires-pour-votre-entreprise-sans-perdre-de-temps-ni-dargent/ http://www.stagnationllc.com/comment-trouver-les-bons-prestataires-pour-votre-entreprise-sans-perdre-de-temps-ni-dargent/#respond Tue, 11 Nov 2025 11:35:38 +0000 http://www.stagnationllc.com/comment-trouver-les-bons-prestataires-pour-votre-entreprise-sans-perdre-de-temps-ni-dargent/ Franchement, trouver un bon prestataire, c’est un peu comme chercher un bon resto dans une ville qu’on ne connaît pas. Il y en a des centaines, tous disent qu’ils sont “les meilleurs”, mais une fois qu’on a signé, on se rend compte que le service ne suit pas. Et quand on parle d’une entreprise – la vôtre – ça peut vite coûter cher. Très cher.

Que vous cherchiez un comptable, une agence web, un fournisseur ou un consultant, le problème est toujours le même : comment séparer les pros des touristes ? Perso, je me suis souvent fait avoir par des prestataires “trop parfaits” sur le papier. Jusqu’à ce que je tombe sur des outils et plateformes qui simplifient vraiment la recherche. Par exemple, le site https://www.service-entreprises.com permet de comparer et trouver des services adaptés à votre activité, sans se perdre dans le blabla commercial. C’est concret, rapide, et surtout, ça évite de perdre des semaines à prospecter dans le vide.

1. Clarifiez vos besoins (vraiment)

Avant même de chercher un prestataire, il faut savoir exactement ce qu’on attend. Vous seriez surpris du nombre d’entreprises qui lancent un appel d’offres sans cahier des charges clair. Résultat : devis flous, incompréhensions, retards, frustration. Faites une liste précise : quel est l’objectif ? les livrables ? le budget maximum ? et surtout, quelles compétences sont indispensables.

Un bon test : si vous ne pouvez pas expliquer votre besoin en deux phrases claires, vous n’êtes pas prêt à déléguer.

2. Vérifiez les références (et pas que sur LinkedIn)

Les prestataires savent se vendre. Certains sont même champions du storytelling. Mais rien ne vaut un retour client sincère. Demandez des contacts de clients actuels, pas juste des logos sur un site. Un simple appel de 5 minutes peut vous éviter des mois de galère.

Et puis, fouillez un peu. Tapez leur nom sur Google, allez voir leurs réalisations récentes, regardez la cohérence entre ce qu’ils promettent et ce qu’ils livrent. Si les avis sont trop parfaits, méfiez-vous. Personne n’a 100 % de clients heureux.

3. Comparez les offres, mais pas que le prix

On le fait tous : on regarde le tarif en premier. Pourtant, le moins cher est rarement le plus rentable. Le bon réflexe, c’est de comparer la valeur de la prestation. Qu’est-ce qui est inclus ? Quels sont les délais ? Y a-t-il un suivi après livraison ?

Un prestataire fiable est celui qui pose des questions avant de chiffrer. S’il envoie un devis en dix minutes sans rien demander, c’est mauvais signe. Le sur-mesure demande du dialogue.

4. Commencez petit, testez avant d’engager

Si possible, démarrez par une mission courte ou un test. Ça permet de juger la réactivité, la qualité, la communication. Mieux vaut perdre 500 € sur un essai que 5 000 € sur un contrat raté.

Et soyez clair dès le départ : “on fait un test, puis on voit”. Les bons prestataires apprécieront, car ils savent qu’ils seront jugés sur le concret, pas sur des promesses.

5. Formalisez la collaboration

Une fois le bon profil trouvé, ne négligez pas la partie administrative. Un devis signé, c’est bien, mais un contrat qui précise les livrables, les délais et les conditions de paiement, c’est encore mieux. Ça protège tout le monde.

Petite astuce : ajoutez toujours une clause de sortie propre. Parce qu’on ne sait jamais, et mieux vaut prévoir qu’improviser.

En résumé

Trouver le bon prestataire, c’est un mélange de méthode et d’instinct. Il faut se fier à son ressenti, mais aussi à des critères concrets : compétences, références, réactivité, compréhension du besoin. Et surtout, ne jamais signer sous pression.

En appliquant ces quelques principes, vous gagnerez du temps, de l’argent, et surtout, beaucoup d’énergie. Parce qu’un bon prestataire, c’est pas juste quelqu’un qui exécute. C’est un vrai partenaire qui comprend votre business et vous aide à le faire grandir. Et ça, franchement, ça n’a pas de prix.

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Organiser un séminaire d’entreprise : les étapes clés pour réussir votre événement professionnel http://www.stagnationllc.com/organiser-un-seminaire-dentreprise-les-etapes-cles-pour-reussir-votre-evenement-professionnel/ http://www.stagnationllc.com/organiser-un-seminaire-dentreprise-les-etapes-cles-pour-reussir-votre-evenement-professionnel/#respond Tue, 11 Nov 2025 11:34:10 +0000 http://www.stagnationllc.com/organiser-un-seminaire-dentreprise-les-etapes-cles-pour-reussir-votre-evenement-professionnel/ Organiser un séminaire d’entreprise, c’est un peu comme monter un mini-festival : il faut jongler entre logistique, ambiance, contenu et timing. Et honnêtement, si c’est bien fait, ça peut transformer l’énergie d’une équipe. Si c’est raté… ça laisse un goût amer, façon “on aurait pu s’en passer”.

Alors comment faire pour que votre séminaire soit un vrai moment fort, utile et marquant ? Je vous partage ici les étapes clés, sans blabla inutile, juste du concret. Et si vous cherchez déjà un lieu sympa pour accueillir votre événement, jetez un œil à https://sallereunioncaen.fr : leur site donne une bonne idée de ce qu’on peut attendre d’un espace pro bien pensé, modulable et sans prise de tête.

1. Définir l’objectif du séminaire (et le garder en tête jusqu’au bout)

Ça peut paraître évident, mais beaucoup zappent cette étape. Un séminaire n’a pas le même visage selon qu’il vise à motiver les équipes, présenter une stratégie ou renforcer la cohésion. Posez-vous la question : qu’est-ce que vous voulez que les participants retiennent ou ressentent en repartant ? Si vous avez la réponse, tout le reste devient plus fluide.

Perso, je conseille toujours de formaliser cet objectif en une phrase. Exemple : “Faire en sorte que l’équipe se sente fière et impliquée dans les projets à venir.” Simple, mais redoutablement efficace comme boussole.

2. Choisir le bon lieu (et pas juste “le moins cher”)

Le lieu, c’est la moitié de l’expérience. Franchement, une salle sans lumière naturelle ou avec des chaises dures comme du béton, ça flingue l’ambiance avant même le café d’accueil. Choisissez un espace adapté à la taille du groupe, modulable et facilement accessible. Et si possible, un lieu qui a un petit “plus” : une terrasse, une vue, un service traiteur réactif… Ce sont ces détails qui font la différence.

Un bon test : imaginez-vous dans la peau d’un participant. Vous arrivez fatigué, pressé, peut-être stressé. Est-ce que le lieu vous donne envie de souffler et de vous poser ? Si oui, vous tenez la bonne adresse.

3. Structurer le programme sans tomber dans le marathon

Erreur classique : vouloir tout caser. Trois confs, deux ateliers, une présentation PowerPoint de 45 minutes (ou plus…). Résultat : tout le monde décroche. Un bon séminaire, c’est une alternance entre temps forts et temps légers. On inspire, on fait bouger, on discute, on respire. Pensez équilibre, pas performance.

Petit conseil : intégrez au moins un moment participatif, même court. Atelier d’idées, mini-débat, ou simple brainstorming debout. Les gens retiennent mieux ce qu’ils vivent que ce qu’ils écoutent.

4. Travailler le fond (et pas juste la déco)

Le contenu, c’est le cœur du séminaire. Ne vous contentez pas de “remplir” avec des slides. Créez une vraie histoire, un fil rouge. Pourquoi pas inviter un intervenant externe, un client inspirant ou même un collaborateur qui raconte un succès (ou un échec instructif) ?

Et surtout, faites simple et incarné. Mieux vaut trois messages forts, bien transmis, qu’une avalanche de concepts qui s’oublient dès le lendemain.

5. Soigner l’expérience globale

Un bon séminaire, ça se joue dans les détails. L’accueil chaleureux, le café chaud, le nom des participants sur les badges, la musique de fond pendant les pauses… Tout compte. Même le timing des repas : un déjeuner à 15h, ça casse l’énergie.

Et si vous pouvez, terminez sur une note conviviale. Un apéritif, une activité collective, un moment de détente. C’est souvent là que les meilleures discussions naissent. Et c’est ce que les gens retiennent.

6. Après le séminaire : ne laissez pas retomber la sauce

Le lendemain, tout le monde reprend ses mails et la routine. Sauf que si vous ne faites rien, l’effet “boost” du séminaire s’évapore en quelques jours. Envoyez un petit récap, des photos, une synthèse des décisions prises. Et surtout, montrez que les idées évoquées vont se concrétiser.

Ce suivi, c’est ce qui transforme un bel événement en vrai levier d’engagement. Et franchement, ça ne prend pas beaucoup de temps.

En résumé

Un séminaire réussi, ce n’est pas qu’une question de logistique. C’est une histoire d’intention, de rythme, de lieu et d’humain. Si vous prenez le temps de bien cadrer ces éléments, le reste suivra naturellement. Et vos équipes s’en souviendront, croyez-moi.

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Comment trouver les meilleurs prestataires B2B pour faire décoller son business en 2025 http://www.stagnationllc.com/comment-trouver-les-meilleurs-prestataires-b2b-pour-faire-decoller-son-business-en-2025/ http://www.stagnationllc.com/comment-trouver-les-meilleurs-prestataires-b2b-pour-faire-decoller-son-business-en-2025/#respond Tue, 11 Nov 2025 07:57:02 +0000 http://www.stagnationllc.com/comment-trouver-les-meilleurs-prestataires-b2b-pour-faire-decoller-son-business-en-2025/ Franchement, en 2025, trouver un bon prestataire B2B, c’est un peu comme chercher une aiguille dans une botte de LinkedIn. Entre les agences qui promettent la lune, les freelances qui croulent sous les missions et les plateformes pleines à craquer, difficile de savoir où mettre les pieds. Et pourtant, le bon partenaire, c’est souvent lui qui fait passer une boîte du “on survit” au “on cartonne”.

Je me souviens d’un dirigeant d’une PME à Lyon qui me disait : “J’ai perdu six mois avec un prestataire qui n’a jamais compris mon besoin.” Résultat : budget cramé, équipe frustrée, et retour à la case départ. C’est là que je me suis dit qu’il fallait arrêter de choisir “au feeling” et commencer à travailler avec méthode. Un bon point de départ, c’est de s’appuyer sur des plateformes sérieuses qui centralisent les services B2B, comme https://www.service-b-to-b.fr. On y trouve des prestataires qualifiés, comparés et notés, sans devoir passer des heures à fouiller tout le web. Et ça, ça change tout.

1. Clarifie ton besoin avant de chercher

Ça peut paraître évident, mais c’est la base. Tu veux “faire du marketing digital” ? OK, mais c’est quoi exactement ? Campagnes pub ? SEO ? Gestion des réseaux sociaux ? Si tu ne sais pas ce que tu veux, tu ne pourras pas évaluer la qualité de ce qu’on te propose. Et les prestataires adorent les briefs flous – ça leur laisse trop de marge. Écris noir sur blanc ton besoin, ton budget, et surtout ton objectif (le vrai, pas celui qu’on met pour faire joli).

2. Compare les offres, pas les discours

On va pas se mentir : tout le monde se présente comme “expert”, “passionné” et “orienté résultat”. Ce qui compte, c’est les preuves. Regarde les cas clients concrets, les résultats chiffrés, et même les outils qu’ils utilisent. Un prestataire sérieux te parlera data, pas promesses. Et si tu sens qu’il esquive les questions précises, passe ton chemin.

3. Prends le temps d’évaluer le fit humain

Le B2B, c’est pas juste du business, c’est une histoire de confiance. Tu vas bosser avec cette personne (ou cette équipe) sur le long terme, alors le feeling compte. Est-ce qu’ils t’écoutent ? Est-ce qu’ils comprennent ton secteur ? Est-ce qu’ils t’envoient des devis clairs ? Perso, je préfère un prestataire un peu cher mais carré, qu’un “bon plan” qui te plante au premier imprévu.

4. Analyse les signaux faibles

Tu veux savoir si un prestataire est fiable ? Regarde ses détails. Son site est à jour ? Ses CGV sont claires ? Ses réponses par mail sont rapides et structurées ? C’est souvent dans les petits trucs que se cache la vérité. Et un prestataire B2B qui met 10 jours à répondre à un devis… imagine quand tu seras client.

5. Teste avant de t’engager

Avant de signer un gros contrat, demande une mission test, un audit ou un échantillon de travail. Tu verras vite la qualité, la réactivité et la rigueur. Un prestataire confiant n’aura aucun souci à te le proposer. Et toi, tu éviteras de te retrouver piégé dans un partenariat bancal pendant des mois.

6. Appuie-toi sur les bons outils et les bons réseaux

En 2025, on a la chance d’avoir des outils de notation, des communautés pro sur Slack, et des plateformes comparatives. Utilise-les. Croise les avis, recoupe les infos. Et n’hésite pas à demander des recommandations à d’autres entrepreneurs – c’est souvent là que tu déniches les perles rares.

7. Pense long terme, pas juste tarif

Un prestataire B2B, ce n’est pas une dépense, c’est un investissement. Si tu veux que ton business décolle, il te faut des partenaires qui comprennent ta vision et t’aident à grandir. Le bon prix, c’est celui qui te fait gagner du temps, de la sérénité et du résultat.

En résumé

Trouver le bon prestataire B2B, c’est un mix de méthode, d’intuition et de lucidité. Oui, c’est un peu de boulot, mais ça vaut largement l’énergie investie. Parce que quand tu tombes sur le bon partenaire, celui qui comprend ta boîte comme si c’était la sienne, tu sens vraiment la différence. Et ton business, lui, il décolle pour de vrai.

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Agence ou freelance : qui choisir pour votre webmarketing en phase de croissance ? http://www.stagnationllc.com/agence-ou-freelance-qui-choisir-pour-votre-webmarketing-en-phase-de-croissance/ http://www.stagnationllc.com/agence-ou-freelance-qui-choisir-pour-votre-webmarketing-en-phase-de-croissance/#respond Fri, 20 Jun 2025 16:42:15 +0000 http://www.stagnationllc.com/agence-ou-freelance-qui-choisir-pour-votre-webmarketing-en-phase-de-croissance/ Vous y êtes. Votre boîte commence à décoller, les premiers résultats sont là, et une chose devient très claire : il va falloir muscler votre webmarketing. Et là, le dilemme classique débarque – est-ce qu’on part avec une agence ou on bosse avec un(e) freelance ? C’est pas juste une question de budget, c’est une vraie décision stratégique. Et franchement, les deux options ont leurs bons et leurs moins bons côtés. Alors, on fait le tri ensemble ?

Avant de rentrer dans le dur, je vous recommande d’aller jeter un œil à ce collectif de freelances : https://www.collectif-webmarketing.com. C’est un bon exemple de ce qu’un regroupement de talents peut proposer sans forcément passer par une agence traditionnelle. Et ça donne une idée concrète des profils qu’on peut activer en solo.

Commençons par le freelance : l’atout agilité (et souvent budget)

Travailler avec un freelance, c’est un peu comme s’offrir un artisan. Il ou elle va mettre les mains dans le cambouis, comprendre vos enjeux, et souvent, aller bien au-delà de la fiche de poste. Perso, j’ai bossé avec une freelance SEO à Nantes – Maïlys, pour ne pas la citer – qui m’a refondu toute ma stratégie de contenu en deux semaines, avec une réactivité juste dingue. Elle m’a même relu mes landing pages un dimanche soir. Vraiment.

Autre point non négligeable : la flexibilité. Un freelance, vous le briefez le lundi, il peut avoir une V1 le mercredi. Pas de réunion pour caler une réunion. Et si votre budget est limité, c’est souvent plus accessible qu’une agence.

Mais attention aux limites. Un(e) freelance reste… une seule personne. Pas de backup si maladie, pas forcément toutes les compétences en interne. Si vous avez besoin de bosser en simultané sur du SEO, de la pub Meta, un refonte de funnel et un audit analytics, ça commence à coincer.

Et côté agence : structure, process, puissance de feu

Là, on entre dans une autre dimension. Une bonne agence, c’est un orchestre. Vous avez un chef de projet qui coordonne, des experts à chaque poste, et une vision globale. C’est rassurant, surtout si vous commencez à avoir plusieurs canaux à piloter, des enjeux de planning, de cohérence de marque, etc.

J’ai vu une boîte B2B de Lyon – dans l’industriel, pas sexy a priori – exploser ses leads en 6 mois après avoir bossé avec une agence spécialisée. Pourquoi ? Parce que l’agence leur a sorti une stratégie cross-canal béton, avec automatisation, tracking, nurturing… le tout calé au millimètre. Clairement, seul, c’était infaisable.

Mais voilà, ça a un coût. Et pas qu’en euros. En temps aussi. Le processus est souvent plus long, plus cadré (trop parfois ?). Et attention à certaines agences “usine à gaz” qui vendent plus de PowerPoint que de résultats concrets. Vous voyez l’idée.

Alors… on choisit quoi ?

Franchement, ça dépend de votre phase actuelle. Si vous êtes encore en train d’itérer, de tester, de bricoler vos tunnels, un(e) freelance bien choisi(e) peut être un véritable moteur. C’est plus direct, plus fluide. Vous gagnez en vitesse, et souvent en proximité.

Mais dès que vous passez la seconde, que vous avez besoin de structurer, scaler, démultiplier vos actions, une agence peut devenir un vrai levier. À condition de choisir la bonne (spoiler : pas celle qui vous balance un devis à 15k sans comprendre votre produit).

Et si on mixait les deux ?

Perso, je trouve que la meilleure approche, souvent, c’est le mix. Une base freelance pour l’agilité, les tests, l’authenticité. Et une agence pour les phases de structuration, les sprints complexes, ou les projets 360. Certains freelances bossent même en collectif (je vous ai mis un lien plus haut), ce qui permet d’avoir le meilleur des deux mondes.

Alors voilà. Pas de réponse magique, mais des pistes claires. Et vous, vous en êtes où ? Vous avez plutôt besoin d’un artisan ou d’une équipe de choc ? Posez-vous la question maintenant, parce que dans 6 mois, ça sera peut-être déjà trop tard pour réagir.

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Comment choisir le bon statut juridique pour lancer son business en 2025 ? http://www.stagnationllc.com/comment-choisir-le-bon-statut-juridique-pour-lancer-son-business-en-2025/ http://www.stagnationllc.com/comment-choisir-le-bon-statut-juridique-pour-lancer-son-business-en-2025/#respond Thu, 15 May 2025 18:40:28 +0000 https://www.stagnationllc.com/comment-choisir-le-bon-statut-juridique-pour-lancer-son-business-en-2025/ Lancer son business, c’est un peu comme partir en road trip sans GPS. T’as beau avoir une bonne bagnole, si tu sais pas dans quelle direction aller, tu vas juste cramer de l’essence pour rien. Et le choix du statut juridique, franchement, c’est le tout premier carrefour. Mal le prendre, et tu te tapes une galère administrative, fiscale, voire sociale, pendant des mois.

Alors, t’es prêt à poser les bases solides ? On y va, étape par étape. Pas de jargon chiant, pas de théorie fumeuse. Juste du concret.

Pourquoi c’est si important ce fichu statut ?

Parce que tout découle de là. Ton régime fiscal, ton niveau de responsabilité, tes charges sociales, ta protection perso, ta capacité à lever des fonds… Tout. Genre vraiment tout. Choisir à l’arrache, c’est comme signer un contrat de mariage sans lire les clauses (spoiler : ça finit mal).

Et le pire ? C’est qu’il n’y a pas de “meilleur statut”. Y’a juste le bon statut pour toi, maintenant, avec ton projet, ton budget, ta vie perso.

Tu bosses seul ou à plusieurs ?

Premier truc à trancher : t’es solo ou t’as une team ?

  • Si tu lances ton truc seul, t’as deux options principales : micro-entreprise ou société unipersonnelle (genre SASU ou EURL).
  • À plusieurs ? Là, t’entres dans le game des SARL, SAS, et parfois des asso ou coopératives (si ton projet est un peu hors cadre).

Perso, j’ai commencé en micro-entreprise, parce que j’avais zéro budget et pas envie de me noyer dans les papiers. Mais très vite, j’ai vu les limites. Et bim, passage en SASU pour plus de crédibilité et moins de plafonds à gérer.

Le match micro-entreprise vs société : qui gagne ?

La micro-entreprise, c’est la porte d’entrée. Facile à créer (genre en 15 minutes sur le site de l’URSSAF), charges sociales simplifiées, pas de TVA au début…

Mais (et c’est un gros “mais”) :

  • Tu gagnes bien ? Tu vas douiller en cotisations (22% sur le CA, sans prendre en compte tes frais réels).
  • Tu veux embaucher ? Oublie.
  • Tu veux te verser un salaire fixe ? Tu peux pas. C’est ton CA, point.

La société (SASU, EURL, SAS, SARL), c’est plus de paperasse, mais plus de liberté aussi. Tu peux te verser un salaire, déduire tes frais réels, bosser avec des partenaires, lever des fonds.

Mais attention : créer une société, ça coûte un peu (statuts, dépôt de capital, annonces légales), et faut tenir une compta en béton. Faut être prêt ou bien accompagné.

2025 : les nouveautés à prendre en compte

Chaque année, y’a des petites bombes fiscales ou sociales qui tombent. En 2025, y’a un truc à suivre de près : le statut unique de l’entrepreneur individuel. Il remplace depuis peu l’EI classique, avec une meilleure protection du patrimoine perso (ton appart est enfin à l’abri, ouf).

Mais du coup, si tu pensais partir sur une EI “à l’ancienne”, stop. Ce statut a changé de visage. Et franchement, dans certains cas, autant directement aller vers une SASU.

Ok, mais comment je choisis ?

Pose-toi ces 5 questions simples :

  1. Tu veux bosser seul ou avec d’autres ?
  2. Tu comptes te verser un salaire régulier ou juste encaisser des paiements ?
  3. Tu veux garder ta vie perso à l’abri en cas de souci ?
  4. Tu vises petit chiffre ou grosse croissance ?
  5. Tu veux garder les choses simples ou t’es prêt à gérer de la vraie gestion d’entreprise ?

Et si tu bloques encore, franchement, appelle un expert-comptable. Même juste pour 1h de visio. Ça te coûte 100 balles mais ça peut t’éviter des mois de galère.

Perso, je recommande quoi ?

Si t’es en mode test, zéro budget, et que tu veux lancer un projet solo rapidement : micro-entreprise, sans hésiter. Tu vas vite, tu dépenses rien, tu vois si ça prend.

Mais si tu veux construire une vraie boîte, avec un peu d’ambition, même si t’es tout seul : SASU. C’est carré, t’as une meilleure image, et c’est plus simple de faire évoluer ton activité sans devoir tout rebooter.

Et pour les projets à deux ou plus ? Je suis team SAS. Plus souple que la SARL sur la gestion interne, tu peux adapter les statuts, tu sors du schéma trop rigide des gérants associés.

Conclusion : t’es pas marié avec ton statut

Ça, c’est important. Le choix que tu fais maintenant, c’est pas gravé dans le marbre. Tu peux évoluer. Passer de micro à société, changer de forme juridique, adapter ton cadre au fur et à mesure que ton business grandit.

Mais ce qui compte, c’est de commencer avec le bon mindset. Un statut, c’est pas juste un formulaire. C’est une fondation. Et une fondation bancale, c’est des fissures plus tard. Crois-moi, tu veux pas gérer ça quand t’as déjà dix clients, un site à maintenir et une TVA à déclarer.

Alors respire, prends le temps. Et choisis ce qui te ressemble aujourd’hui. Le reste viendra.

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