Le site stagnationllc.com http://www.stagnationllc.com Fri, 20 Jun 2025 18:32:01 +0000 fr-FR hourly 1 https://wordpress.org/?v=6.8.1 http://www.stagnationllc.com/wp-content/uploads/2025/05/cropped-icon-1-32x32.png Le site stagnationllc.com http://www.stagnationllc.com 32 32 Agence ou freelance : qui choisir pour votre webmarketing en phase de croissance ? http://www.stagnationllc.com/agence-ou-freelance-qui-choisir-pour-votre-webmarketing-en-phase-de-croissance/ http://www.stagnationllc.com/agence-ou-freelance-qui-choisir-pour-votre-webmarketing-en-phase-de-croissance/#respond Fri, 20 Jun 2025 16:42:15 +0000 http://www.stagnationllc.com/agence-ou-freelance-qui-choisir-pour-votre-webmarketing-en-phase-de-croissance/ Vous y êtes. Votre boîte commence à décoller, les premiers résultats sont là, et une chose devient très claire : il va falloir muscler votre webmarketing. Et là, le dilemme classique débarque – est-ce qu’on part avec une agence ou on bosse avec un(e) freelance ? C’est pas juste une question de budget, c’est une vraie décision stratégique. Et franchement, les deux options ont leurs bons et leurs moins bons côtés. Alors, on fait le tri ensemble ?

Avant de rentrer dans le dur, je vous recommande d’aller jeter un œil à ce collectif de freelances : https://www.collectif-webmarketing.com. C’est un bon exemple de ce qu’un regroupement de talents peut proposer sans forcément passer par une agence traditionnelle. Et ça donne une idée concrète des profils qu’on peut activer en solo.

Commençons par le freelance : l’atout agilité (et souvent budget)

Travailler avec un freelance, c’est un peu comme s’offrir un artisan. Il ou elle va mettre les mains dans le cambouis, comprendre vos enjeux, et souvent, aller bien au-delà de la fiche de poste. Perso, j’ai bossé avec une freelance SEO à Nantes – Maïlys, pour ne pas la citer – qui m’a refondu toute ma stratégie de contenu en deux semaines, avec une réactivité juste dingue. Elle m’a même relu mes landing pages un dimanche soir. Vraiment.

Autre point non négligeable : la flexibilité. Un freelance, vous le briefez le lundi, il peut avoir une V1 le mercredi. Pas de réunion pour caler une réunion. Et si votre budget est limité, c’est souvent plus accessible qu’une agence.

Mais attention aux limites. Un(e) freelance reste… une seule personne. Pas de backup si maladie, pas forcément toutes les compétences en interne. Si vous avez besoin de bosser en simultané sur du SEO, de la pub Meta, un refonte de funnel et un audit analytics, ça commence à coincer.

Et côté agence : structure, process, puissance de feu

Là, on entre dans une autre dimension. Une bonne agence, c’est un orchestre. Vous avez un chef de projet qui coordonne, des experts à chaque poste, et une vision globale. C’est rassurant, surtout si vous commencez à avoir plusieurs canaux à piloter, des enjeux de planning, de cohérence de marque, etc.

J’ai vu une boîte B2B de Lyon – dans l’industriel, pas sexy a priori – exploser ses leads en 6 mois après avoir bossé avec une agence spécialisée. Pourquoi ? Parce que l’agence leur a sorti une stratégie cross-canal béton, avec automatisation, tracking, nurturing… le tout calé au millimètre. Clairement, seul, c’était infaisable.

Mais voilà, ça a un coût. Et pas qu’en euros. En temps aussi. Le processus est souvent plus long, plus cadré (trop parfois ?). Et attention à certaines agences “usine à gaz” qui vendent plus de PowerPoint que de résultats concrets. Vous voyez l’idée.

Alors… on choisit quoi ?

Franchement, ça dépend de votre phase actuelle. Si vous êtes encore en train d’itérer, de tester, de bricoler vos tunnels, un(e) freelance bien choisi(e) peut être un véritable moteur. C’est plus direct, plus fluide. Vous gagnez en vitesse, et souvent en proximité.

Mais dès que vous passez la seconde, que vous avez besoin de structurer, scaler, démultiplier vos actions, une agence peut devenir un vrai levier. À condition de choisir la bonne (spoiler : pas celle qui vous balance un devis à 15k sans comprendre votre produit).

Et si on mixait les deux ?

Perso, je trouve que la meilleure approche, souvent, c’est le mix. Une base freelance pour l’agilité, les tests, l’authenticité. Et une agence pour les phases de structuration, les sprints complexes, ou les projets 360. Certains freelances bossent même en collectif (je vous ai mis un lien plus haut), ce qui permet d’avoir le meilleur des deux mondes.

Alors voilà. Pas de réponse magique, mais des pistes claires. Et vous, vous en êtes où ? Vous avez plutôt besoin d’un artisan ou d’une équipe de choc ? Posez-vous la question maintenant, parce que dans 6 mois, ça sera peut-être déjà trop tard pour réagir.

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Comment choisir le bon statut juridique pour lancer son business en 2025 ? http://www.stagnationllc.com/comment-choisir-le-bon-statut-juridique-pour-lancer-son-business-en-2025/ http://www.stagnationllc.com/comment-choisir-le-bon-statut-juridique-pour-lancer-son-business-en-2025/#respond Thu, 15 May 2025 18:40:28 +0000 https://www.stagnationllc.com/comment-choisir-le-bon-statut-juridique-pour-lancer-son-business-en-2025/ Lancer son business, c’est un peu comme partir en road trip sans GPS. T’as beau avoir une bonne bagnole, si tu sais pas dans quelle direction aller, tu vas juste cramer de l’essence pour rien. Et le choix du statut juridique, franchement, c’est le tout premier carrefour. Mal le prendre, et tu te tapes une galère administrative, fiscale, voire sociale, pendant des mois.

Alors, t’es prêt à poser les bases solides ? On y va, étape par étape. Pas de jargon chiant, pas de théorie fumeuse. Juste du concret.

Pourquoi c’est si important ce fichu statut ?

Parce que tout découle de là. Ton régime fiscal, ton niveau de responsabilité, tes charges sociales, ta protection perso, ta capacité à lever des fonds… Tout. Genre vraiment tout. Choisir à l’arrache, c’est comme signer un contrat de mariage sans lire les clauses (spoiler : ça finit mal).

Et le pire ? C’est qu’il n’y a pas de “meilleur statut”. Y’a juste le bon statut pour toi, maintenant, avec ton projet, ton budget, ta vie perso.

Tu bosses seul ou à plusieurs ?

Premier truc à trancher : t’es solo ou t’as une team ?

  • Si tu lances ton truc seul, t’as deux options principales : micro-entreprise ou société unipersonnelle (genre SASU ou EURL).
  • À plusieurs ? Là, t’entres dans le game des SARL, SAS, et parfois des asso ou coopératives (si ton projet est un peu hors cadre).

Perso, j’ai commencé en micro-entreprise, parce que j’avais zéro budget et pas envie de me noyer dans les papiers. Mais très vite, j’ai vu les limites. Et bim, passage en SASU pour plus de crédibilité et moins de plafonds à gérer.

Le match micro-entreprise vs société : qui gagne ?

La micro-entreprise, c’est la porte d’entrée. Facile à créer (genre en 15 minutes sur le site de l’URSSAF), charges sociales simplifiées, pas de TVA au début…

Mais (et c’est un gros “mais”) :

  • Tu gagnes bien ? Tu vas douiller en cotisations (22% sur le CA, sans prendre en compte tes frais réels).
  • Tu veux embaucher ? Oublie.
  • Tu veux te verser un salaire fixe ? Tu peux pas. C’est ton CA, point.

La société (SASU, EURL, SAS, SARL), c’est plus de paperasse, mais plus de liberté aussi. Tu peux te verser un salaire, déduire tes frais réels, bosser avec des partenaires, lever des fonds.

Mais attention : créer une société, ça coûte un peu (statuts, dépôt de capital, annonces légales), et faut tenir une compta en béton. Faut être prêt ou bien accompagné.

2025 : les nouveautés à prendre en compte

Chaque année, y’a des petites bombes fiscales ou sociales qui tombent. En 2025, y’a un truc à suivre de près : le statut unique de l’entrepreneur individuel. Il remplace depuis peu l’EI classique, avec une meilleure protection du patrimoine perso (ton appart est enfin à l’abri, ouf).

Mais du coup, si tu pensais partir sur une EI “à l’ancienne”, stop. Ce statut a changé de visage. Et franchement, dans certains cas, autant directement aller vers une SASU.

Ok, mais comment je choisis ?

Pose-toi ces 5 questions simples :

  1. Tu veux bosser seul ou avec d’autres ?
  2. Tu comptes te verser un salaire régulier ou juste encaisser des paiements ?
  3. Tu veux garder ta vie perso à l’abri en cas de souci ?
  4. Tu vises petit chiffre ou grosse croissance ?
  5. Tu veux garder les choses simples ou t’es prêt à gérer de la vraie gestion d’entreprise ?

Et si tu bloques encore, franchement, appelle un expert-comptable. Même juste pour 1h de visio. Ça te coûte 100 balles mais ça peut t’éviter des mois de galère.

Perso, je recommande quoi ?

Si t’es en mode test, zéro budget, et que tu veux lancer un projet solo rapidement : micro-entreprise, sans hésiter. Tu vas vite, tu dépenses rien, tu vois si ça prend.

Mais si tu veux construire une vraie boîte, avec un peu d’ambition, même si t’es tout seul : SASU. C’est carré, t’as une meilleure image, et c’est plus simple de faire évoluer ton activité sans devoir tout rebooter.

Et pour les projets à deux ou plus ? Je suis team SAS. Plus souple que la SARL sur la gestion interne, tu peux adapter les statuts, tu sors du schéma trop rigide des gérants associés.

Conclusion : t’es pas marié avec ton statut

Ça, c’est important. Le choix que tu fais maintenant, c’est pas gravé dans le marbre. Tu peux évoluer. Passer de micro à société, changer de forme juridique, adapter ton cadre au fur et à mesure que ton business grandit.

Mais ce qui compte, c’est de commencer avec le bon mindset. Un statut, c’est pas juste un formulaire. C’est une fondation. Et une fondation bancale, c’est des fissures plus tard. Crois-moi, tu veux pas gérer ça quand t’as déjà dix clients, un site à maintenir et une TVA à déclarer.

Alors respire, prends le temps. Et choisis ce qui te ressemble aujourd’hui. Le reste viendra.

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