Agence ou freelance : qui choisir pour votre webmarketing en phase de croissance ?

Agence ou freelance : qui choisir pour votre webmarketing en phase de croissance ?

Vous y êtes. Votre boîte commence à décoller, les premiers résultats sont là, et une chose devient très claire : il va falloir muscler votre webmarketing. Et là, le dilemme classique débarque – est-ce qu’on part avec une agence ou on bosse avec un(e) freelance ? C’est pas juste une question de budget, c’est une vraie décision stratégique. Et franchement, les deux options ont leurs bons et leurs moins bons côtés. Alors, on fait le tri ensemble ?

Avant de rentrer dans le dur, je vous recommande d’aller jeter un œil à ce collectif de freelances : https://www.collectif-webmarketing.com. C’est un bon exemple de ce qu’un regroupement de talents peut proposer sans forcément passer par une agence traditionnelle. Et ça donne une idée concrète des profils qu’on peut activer en solo.

Commençons par le freelance : l’atout agilité (et souvent budget)

Travailler avec un freelance, c’est un peu comme s’offrir un artisan. Il ou elle va mettre les mains dans le cambouis, comprendre vos enjeux, et souvent, aller bien au-delà de la fiche de poste. Perso, j’ai bossé avec une freelance SEO à Nantes – Maïlys, pour ne pas la citer – qui m’a refondu toute ma stratégie de contenu en deux semaines, avec une réactivité juste dingue. Elle m’a même relu mes landing pages un dimanche soir. Vraiment.

Autre point non négligeable : la flexibilité. Un freelance, vous le briefez le lundi, il peut avoir une V1 le mercredi. Pas de réunion pour caler une réunion. Et si votre budget est limité, c’est souvent plus accessible qu’une agence.

Mais attention aux limites. Un(e) freelance reste… une seule personne. Pas de backup si maladie, pas forcément toutes les compétences en interne. Si vous avez besoin de bosser en simultané sur du SEO, de la pub Meta, un refonte de funnel et un audit analytics, ça commence à coincer.

Et côté agence : structure, process, puissance de feu

Là, on entre dans une autre dimension. Une bonne agence, c’est un orchestre. Vous avez un chef de projet qui coordonne, des experts à chaque poste, et une vision globale. C’est rassurant, surtout si vous commencez à avoir plusieurs canaux à piloter, des enjeux de planning, de cohérence de marque, etc.

J’ai vu une boîte B2B de Lyon – dans l’industriel, pas sexy a priori – exploser ses leads en 6 mois après avoir bossé avec une agence spécialisée. Pourquoi ? Parce que l’agence leur a sorti une stratégie cross-canal béton, avec automatisation, tracking, nurturing… le tout calé au millimètre. Clairement, seul, c’était infaisable.

Mais voilà, ça a un coût. Et pas qu’en euros. En temps aussi. Le processus est souvent plus long, plus cadré (trop parfois ?). Et attention à certaines agences “usine à gaz” qui vendent plus de PowerPoint que de résultats concrets. Vous voyez l’idée.

Alors… on choisit quoi ?

Franchement, ça dépend de votre phase actuelle. Si vous êtes encore en train d’itérer, de tester, de bricoler vos tunnels, un(e) freelance bien choisi(e) peut être un véritable moteur. C’est plus direct, plus fluide. Vous gagnez en vitesse, et souvent en proximité.

Mais dès que vous passez la seconde, que vous avez besoin de structurer, scaler, démultiplier vos actions, une agence peut devenir un vrai levier. À condition de choisir la bonne (spoiler : pas celle qui vous balance un devis à 15k sans comprendre votre produit).

Et si on mixait les deux ?

Perso, je trouve que la meilleure approche, souvent, c’est le mix. Une base freelance pour l’agilité, les tests, l’authenticité. Et une agence pour les phases de structuration, les sprints complexes, ou les projets 360. Certains freelances bossent même en collectif (je vous ai mis un lien plus haut), ce qui permet d’avoir le meilleur des deux mondes.

Alors voilà. Pas de réponse magique, mais des pistes claires. Et vous, vous en êtes où ? Vous avez plutôt besoin d’un artisan ou d’une équipe de choc ? Posez-vous la question maintenant, parce que dans 6 mois, ça sera peut-être déjà trop tard pour réagir.

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